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Les coups de coeur 2017-2018 de nos rédacteurs: les titres “punch” (2/3)

Nous poursuivons avec ce bouquet des articles préférés de certains de nos rédacteurs pour la dernière année académique.  Le choix d’un titre percutant (drôle, double sens, intriguant, etc.) mais significatif est un élément important de notre travail.  C’est souvent ce qui déterminera si les lecteurs cliqueront ou non sur un article.  Voici donc des dépêches aux titres particulièrement “punchés”.  Indépendamment des titres, nous savons que les contenus restent d’intérêt…

Véronique Bisaillon, conseillère en éducation au développement durable, estime que “5 trucs d’apprentissage actif pour ceux qui n’ont pas le temps d’inverser leur enseignement…” constitue un titre vraiment intéressant.  Francheska Gaulin y partage les trucs simples de l’auteure Barbi Honeycutt pour intégrer quelques stratégies d’apprentissage actif sans tout chambouler son enseignement.  Celui-ci a aussi piqué sa curiosité “Après la massification de l’enseignement, voici la massification de la recherche” de Sonia Morin.  La vôtre est-elle piquée?

Marc Couture, conseiller pédagogique en intégration des TIC, a été accroché par “En classe inversée, pas d’étudiants réellement actifs sans professeur activement passif” de la même Francheska Gaulin, qui y détaille le rôle du professeur dans ce nouveau contexte.  Par ailleurs, Marc est assez fier du titre “Un salmigondis d’applications de l’intelligence artificielle en éducation“, simplement parce qu’il est ravi d’avoir réussi à placer le mot “salmigondis” dans un titre…

Francheska Gaulin, coordonnatrice multimédia, aime bien «La maternelle tout au long de la vie?» et «La technologie la plus utile dans les salles d’apprentissage actif? La table circulaire!» de votre humble serviteur.  J’y traite notamment d’organisation des espaces de classe et des pédagogies ludiques qui y sont associées.  Mais il semble que Francheska est surtout sensible à mon utilisation audacieuse de la ponctuation…

Alain Mélançon, agent de communications à l’Agence des relations internationales, a été séduit par “Infox? Vous avez dit infox? de notre collègue Sonia, qui présente le néologisme proposé par la Commission d’enrichissement de la langue française (France) pour désigner les “fake news”.

Ladite Sonia Morin, coordonnatrice au Service de soutien à la formation, est également contente de son titre sur l’infox (c’est vrai qu’il est excellent), mais elle cite aussi “L’art moribond du désaccord intellectuellement enrichissant” et “Guerre de tranchées pour la liberté d’expression sur les campus?” où je traite du fait qu’il devient difficile d’avoir des débats contradictoires sur les campus en raison d’une augmentation importante des sensibilités de tous ordres.

Pour ma part, (Jean-Sébastien Dubé, coordonnateur à la veille), le titre “Écrire de fausses nouvelles pour apprendre à les reconnaître” de Sonia Morin a tout de suite stimulé mon imagination.  On prend connaissance de l’activité qu’Elena Obukhova, professeure de l’Université McGill, a décidé de monter en collaboration avec un bibliothécaire pour sensibiliser ses étudiants aux fausses nouvelles. “Panneaux solaires et recrutement” de Véronique Bisaillon m’a fait sourire et réfléchir à cette possibilité pas si bête, tandis que “Les profs qui pensent que tout leur est dû… (teacher entitlement)” me plaisait pour le pied-de-nez: personne ne connaît de tels enseignants (sic)… mais on s’inquiète grandement des nouvelles générations d’étudiants qui présentent ce défaut…

Bonne lecture!

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Jean-Sébastien Dubé

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