Basé sur une approche dite horizontale de l’apprentissage (contrairement à une approche plus verticale où tout part et est contrôlé par une seule personne), ClassCall est un outil de webconférence qui facilite le partage et la contribution de tous les participants.
ClassCall possède une interface conviviale, intuitive et épurée (que quelques boutons de fonctions). Son fonctionnement est simple, une fois inscrit, il vous suffit…
- d’importer les fichiers qui doivent faire l’objet d’un travail en groupe (ces fichiers peuvent être de formats différents)
- ClassCall génère à partir de cette collection de fichiers, un document auquel un URL unique est associé
- de partager l’URL avec vos collaborateurs (nombre illimité)
- de démarrer la webconférence…
…et le travail collaboratif peut commencer
Tous voient et peuvent intervenir en temps réel sur le document. Selon le nombre de collaborateurs, la séance peut se tenir en grand groupe ou en sous-groupes. Vous pouvez créer manuellement vos équipes ou laisser le soin à ClassCall de séparer les participants en groupes de même taille. Si les participants travaillent en petites équipes, il est possible de collecter, de comparer et de commenter les résultats obtenus dans chacune des équipes. Possible aussi d’utiliser une navigation non linéaire, d’annoter, d’intégrer des sondages ou des quiz, d’ajouter de nouveaux fichiers, etc.
Vous pouvez testez l’application grâce à la version gratuite limitée. L’abonnement donne accès à des fonctions supplémentaires telles que la webconférence audio, l’enregistrement des séances, l’intégration aux réseaux sociaux et le support dédié.
Sources:
«ClassCall, un outil de présentation collaboratif», Thot Cursus, page consultée le 17 décembre 2015.
Navamuel, Fidel, «ClassCall, un outil de présentation à distance nouvelle génération», Les outils collaboratifs, 11 janvier 2016.
Veilleuse pendant plus de 10 ans, mes recherches et sujets d'intérêt tournaient autour des multiples usages de la vidéo à des fins d'enseignement et d'apprentissage. Je resterai, même à la retraite, fidèle lectrice de ce blogue qu'est L'Éveilleur!
