La firme Education Adviroy Board (EAB) a publié une analyse des stratégies mises de l’avant par les institutions canadiennes et américaines pour contrer la triche chez les étudiants.
Si le document brosse un tableau des diverses stratégies, et qu’il le fait bien, il comprend peu d’éléments nouveaux si ce n’est d’avoir abordé de front la situation des étudiants internationaux et de suggère quelques actions à poser.
Le problème à la source | Des gestes de la part des enseignants qui peuvent aider |
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L’une des observations clés de l’analyse est la suivante.
Allow an informal, but documented, resolution process between instructors and students for minor academic misconduct cases to improve metrics collection. Faculty members and discipline officers at many profiled institutions report that formal, legalistic adjudication systems for incidents of academic misconduct discourage documentation. Allow faculty members greater flexibility to adjudicate incidents of academic misconduct directly with students, but REQUIRE DOCUMENTATION OF EVEN INFORMAL DISCIPLINARY INTERACTIONS WITH STUDENTS TO INCREASE ACTIONABLE DATA ON TRENDS OF STUDENT ACADEMIC MISCONDUCT ON CAMPUS. Consider reserving formal adjudication system for severe or repeat cases of academic misconduct. (NDLR : notre emphase)
Cette exigence de garder une trace des interventions auprès des étudiants est fondamentale et n’est pas sans rappeler le projet britannique qui a conduit au Plagiarism Reference Tariff, lequel permet, si on tient compte de toutes les interventions, d’appliquer des sanctions selon des critères bien établis.
Source – Education Advisory Board. Strategies for Combatting Academic Misconduct. 23 mai 2014