L’édition du week-end dernier du Devoir publiait un portrait intéressant de l’Institut national de la recherche du Québec, associé au réseau des UQ. Intéressant du moins pour qui, comme moi, ignorait presque tout de cette institution…
Il s’agit en fait de quatre centres de recherche couvrant différentes thématiques: Le Centre eau, terre et environnement; le Centre énergie, matériaux et télécommunications; l’INRS-Institut Armand-Frappier (santé humaine, animale et environnementale) et le Centre urbanisation, culture et société. Outre les domaines précis de recherche qui y sont priorisés, cet article nous apprend notamment que l’INRS recrute intensivement ses chercheurs à l’étranger, qu’il souscrit à la tendance qui veut « pragmatiser » la recherche universitaire (« produire des retombées concrètes dans la société québécoise »). Évidemment, il n’est aucunement question de la manière dont 157 professeurs-chercheurs forment les 570 étudiants-chercheurs…
Mon meilleur ami a travaillé pour “INRS-Eau” comme il l’appelait dans le temps alors qu’il complétait son doctorat en math-info. Il était alors très intéressé aux travaux d’Hydro-Québec et les barrages du nord québécois.