Dans un article intitulé « Vif succès de la nouvelle maîtrise en enseignement », La Presse fait le portrait de ce programme offert par l’UdeS. L’UdeM et l’UQAM ont un programme similaire, mais qui est uniquement disponible en présentiel, alors que l’UdeS a opté pour la formation à distance. La pénurie d’enseignants qualifiés fait croître la popularité de ce type de programmes. Vraisemblablement, Sherbrooke élargira sous peu le programme aux enseignants d’anglais langue seconde:
Gros hic: seuls les profs de français, de mathématiques ou de sciences ont accès à la maîtrise. Rien n’est prévu pour les professeurs d’anglais – le secteur où la pénurie est la plus vive au Québec après l’adaptation scolaire -, de sciences humaines ou d’arts.
[…]L’Université de Sherbrooke est prête à ouvrir la maîtrise aux enseignants d’anglais sans brevet «l’été prochain, si on reçoit une réponse positive du Comité d’agrément des programmes de formation à l’enseignement (NDLR: qui relève du MELS), a indiqué M. [Hassane] Squalli. On a une grande liste de personnes intéressées à s’inscrire.»
À temps partiel, les soirs et les week-ends, les étudiants mettront quatre ans à obtenir cette maîtrise, tout en enseignant au primaire ou au secondaire.