Recherche en intelligence artificielle dans le réseau des UQ

Ma collègue Sonia Morin m’informe d’un encart inclus dans un récent numéro du magazine Québec Science, où l’on fait état des contributions des chercheurs du réseau des universités du Québec au développement de l’intelligence artificielle dans différents domaines. On y aborde plusieurs sujets que nous avons présentés par le passé et qui font toujours la une de l’actualité en la matière, incluant

l’IA dans la cité, où il est question des applications de l’IA pour gérer de façon plus efficace les services offerts par une ville (consommation d’eau ou d’électricité, utilisation prévue du réseau 5G, amélioration des communications avec les services d’urgence et les policiers, etc.);
place à la voiture de demain, où l’avènement des voitures autonomes est analysé au regard de simulations qui visent à améliorer la détection des collisions;
le cinéma des algorithmes, qui aborde la reconnaissance des images et les expériences immersives en soutien aux arts dramatiques et visuels;
l’IA révolutionne le secteur manufacturier, où la surveillance de procédés permet de réaliser des économies importantes et atteindre un niveau d’efficience sans précédent;
les machines qui vous veulent du bien, en lien avec l’exploitation de l’IA dans les sciences de la santé, notamment en imagerie médicale mais aussi en appui à des services de soutien aux clientèles vulnérables par la conception d’habitations intelligentes;
quand la machine analyse la machine, où l’apprentissage automatique est mis au service d’autres systèmes afin de les rendre plus performants;
leia à la rescousse de la justice, où des solutions de reconnaissance de la parole adaptées au domaine légal, comme des services de conseil juridique et de référence automatisés, sont en voie de devenir accessibles au grand public, et
remettre l’IA dans le droit chemin, où les considérations éthiques de l’IA sont passées au peigne fin pour prévenir les dérapages.